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Depuis
sa présence en zone d’attente, la Croix Rouge française
n’a dénoncé dans les médias qu’un
seul cas de violence : une jeune femme chinoise traînée
au sol par les cheveux. Aucun mot sur les non-admis victimes d’agressions
sexuelles, d’intimidations et de violences policières.
Des violences pourtant certifiées par des médecins :
traumatisme crânien, écrasement des testicules, traces
de strangulations... |
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