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« Un
mineur étranger se trouve par définition en situation
de péril et le maintien en zone d’attente, parce qu’il
suppose un risque de refoulement à tout moment, risque d’aggraver
cette situation de danger, alors même que l’intéressé
devrait avoir accès, sans condition et immédiatement,
au dispositif judiciaire de protection des mineurs » :
le Haut Commissariat aux réfugiés (UNHCR), la Défenseure
des enfants et l’Association nationale d’assistance
aux frontières pour les étrangers (Anafé). |
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